Venez à moi…Prenez mon joug…. deux verbes à l’impératif.
Si nous entendons ces verbes comme des ordres, ce n’est pas une bonne nouvelle.
Si nous entendons ces verbes comme une volonté de Dieu extérieure à nous, ce n’est pas non plus une bonne nouvelle.
Mais si nous les entendons comme un appel à vivre, comme une demande d’amitié, comme une prière que Dieu nous fait, nous accédons alors à une relation de liberté. Là est la bonne nouvelle.
Si nous les entendons comme un appel à inventer notre vie à partir du désir le plus profond et vivant de notre cœur, là est la bonne nouvelle.
JP